Contefil
Le temps d’un peu
Quizá, quizá tienen razón las días laborables
Ecouter le mouvement éternel des étoiles
Dessiner les moments qui bout à bout font la vie
Une façon d’être au monde
Ce n’est pas en allant droit au but que l’on trouve la vie, mais dans les détours
L’ombre du monde
Il y a des rires de différentes couleurs
La tragédie de l’homme qui n’était pas fait pour la tragédie, c’est la tragédie de tout homme
Te rappelles-tu le gris étrange de la lumière
Et dans votre coeur les rêves qui errent
Depuis toujours tout ce qui était définitif lui paraissait inquiétant
Chercheur d’écume
Un révolté, qu’un révolté, un seul, mais un au moins, hurle donc à grands cris d’écarlate
Et c’est ainsi qu’elle errait sur les hauteurs de sa vie sans trouver son chemin
Tu sèmes les syllabes pour récolter des étoiles
Nos regards échangés pour être consolés
Je suis quelqu’un qui est censé être moi
À propos
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Contefil
Le temps d’un peu
Quizá, quizá tienen razón las días laborables
Ecouter le mouvement éternel des étoiles
Dessiner les moments qui bout à bout font la vie
Une façon d’être au monde
Ce n’est pas en allant droit au but que l’on trouve la vie, mais dans les détours
L’ombre du monde
Il y a des rires de différentes couleurs
La tragédie de l’homme qui n’était pas fait pour la tragédie, c’est la tragédie de tout homme
Te rappelles-tu le gris étrange de la lumière
Et dans votre coeur les rêves qui errent
Depuis toujours tout ce qui était définitif lui paraissait inquiétant
Chercheur d’écume
Un révolté, qu’un révolté, un seul, mais un au moins, hurle donc à grands cris d’écarlate
Et c’est ainsi qu’elle errait sur les hauteurs de sa vie sans trouver son chemin
Tu sèmes les syllabes pour récolter des étoiles
Nos regards échangés pour être consolés
Je suis quelqu’un qui est censé être moi
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Quizá, quizá tienen razón las días laborables
Jaime Gil de Biedma
Clothes Pile, Charles Ray ; photo YLD
