Il n’y a pas de fatalité, il faut rêver
On n’est jamais qu’un récit
Somnambules, dans l’encens doré de la brume
L’aube qui déferlait comme une vague sur la ville les noyait tous
Un révolté, qu’un révolté, un seul, mais un au moins, hurle donc à grands cris d’écarlate
Et c’est ainsi qu’elle errait sur les hauteurs de sa vie sans trouver son chemin
Tu sèmes les syllabes pour récolter des étoiles
Nos regards échangés pour être consolés
Je suis quelqu’un qui est censé être moi